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3 janvier 2022 1 03 /01 /janvier /2022 13:39

Elle se sent liiibre… entre ces femmes de son milieu… et… dans ces lieux où… elle respire l’air                                                                                  

Sans ‘’clochette’’ Mr.… (même si c’est une liberté provisoire)…          

.. Quel bonheur de se sentir libre et libérée, de temps à autre, libérée du qualificatif conjugal ''mari'', libérée aussi de son foyer ! Quel bonheur de se retrouver en bonne compagnie féminine dans sa propre voiture, stationner à sa guise, s’arrêter comme et quand cela lui chante, en bonne entente, sentir son plaisir partagé au fil d’une journée qui semble s’allonger à son profit, sans calculs sordides ni de fausses estimations, ou des critiques désobligeantes de la part d’une personne harcelante, chicaneuse pour un oui-pourquoi et un non-comment ! une personne qui pense constamment du mal d’autrui ! Enfin ! quel plaisir de se retrouver avec des personnes sans procès d’intention !

La jeune femme chante à tue-tête…Elle a soudain envie de rappeler à sa mère et à sa sœur ce qu’elle considère comme une anecdote-écho de sa mémoire de jeune fille. Elle dit, vous vous rappelez de 7Afsa cette cousine ayant quitté son mari à cause d’une discorde qui devait en principe entraîner un divorce ? …Un divorce qui pour son grand malheur n’a pas eu lieu ! Elle a du longtemps séjourner chez sa mère avant de retourner bredouille chez elle. Mais combien contente durant son séjour chez sa mère lors de cette escapade fortune du foyer conjugal ! C’est ce qu’elle a dit ce jour-là où elles sont venues elle et ma tante rendre visite à Mama… Il faut dire que celle-là était vraiment dérangée par la situation de sa fille qui avait à peine 35 ans et trois enfants !  Oui ! par Dieu ! je me plais chez Mama ! s’est alors écriée la jeune femme choquant sa mère et pas Mama qui encourage toutes les rebellées contre leur mari quand il est question de ''+ que de dignité'' ! c’est primordial pour la vieille dame, car il s’agit aussi d’une question-principe de ''Justice et de Liberté d'action'' de toutes ces femmes instruites au même niveau que les hommes,  fonctionnaires touchant aussi des salaires, et qui demeurent pourtant et encore comme des esclaves sous la tutelle de leurs hommes… Je vœux retrouver ma liberté d’action et de parole ! avait formulé la jeune femme. Alors, elle a clamé en ajoutant aux oreilles ébahies de sa mère, ma pauvre cousine, tout en chantant : je suis liiibre maintenant, sonne ô mon Razal ! (*Seirrr’sseirrr yaàà r°°°°zaààli !) (*’’Seirrr’sseirrr yaàà r°°°°zaààli !’’) *C’est joli comme expression de ‘’liberté’’ ! Cela peut vouloir dire : ''rends-moi visite ô mon Bel Élan ! je suis liiibre ! ‘’Razal en arabe qui est Bel élan fait aussi appel à la beauté de l’animal, à son agilité, à sa liberté de gambader…etc. Dire de quelqu’un ‘’rzaal’’ ou de quelqu’une ‘’rzaala’’, ce n’est pas seulement pour dire qu’il est beau ou qu’elle est belle mais c’est aussi pour les qualifier de ces qualités de grâce, d’intelligence, de fougue…etc. Alors/ *’’Sonne ô mon Bel-Elan !’’ ! cela ferait appel à la liberté de choisir de la jeune femme frustrée depuis qu’elle s’est mariée à l’âge de 18 ans ! vous ne trouvez pas ? Bien sûr cela a choqué ma tante très à cheval sur les mœurs…C’est toujours malheureux, répond la mère, de voir ses filles adorées depuis leur naissance toutes rzaaaaalate, tomber mal…  

.. Au fait les deux expressions amalgamées ‘’sersèr ya rzaali ; je suis liiibre !’’ bien assimilées, sont trop mignonnes ! s’esclaffe in petto Badia. Si le sentiment de liberté provisoire tournait ainsi pour elle, elle se plierait sans faute aux nombreuses contradictions de l’une et de l’autre.... Et comme par hasard, elle se rappelle un matin où consécutivement, elle a senti le nœud de la rébellion et de la révolte lui serrer la gorge depuis le gros orteil du pied passant par les tripes / (Mama dirait ''m°n l°b°nna 7tta l°gu°nna'', c'est à dire depuis l'orteil/ jusqu'au sommet de la tête). Et, paradoxalement, elle a sauté de sa place, et puis automatiquement, elle franchit le pas pour amener à monsieur assis à son bureau de création poétique comme elle aime le voir faire plus souvent, tout en virevoltant directement vers l’âtre de ses rêves, portant une boisson pur-jus super vitaminée et glaçon née, jugeant l'état de monsieur-hurlant de ''fatigue aérienne'', super fébrile… et son soi-disant devoir à elle, par affection, s’étendre vers la poésie hymne de son amour pour lui. Pourtant, par quelle démystification juste après, elle a crié haro sur toutes les servitudes non reconnues ou dénigrées avec des tics d’arrogance… (Non ! D’autres fois c’était avec un sourire et un bisou sur la main qu’il l’accueillait ! en disant : tu es adorable mon ange ! ...)  

Extrait du roman ''Les Tourterelles'' Bouchra Benjelloun

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20 décembre 2021 1 20 /12 /décembre /2021 13:31

 Quand l’une des deux ‘’Tourterelles’’ qui jasent doucement se transforme en scriptrice, leurs récits à toutes les deux se figent… Suivez avec moi…

Elle va continuer à écouter sa mère et à transcrire ce qu’elle dit. Le reste viendra tout seul. Au fait elle ne sait pas ce qu’elle insinue par ce ‘’reste’’. Elle sait qu’elle est en train de vivre une ydille avec sa mère. De plus, celle-ci ne cesse de l’émerveiller avec son débordement d’énergie qu’elle veut surtout déployer dans sa cuisine commandant avec toute sa verve verbale la femme de ménage. Autrement, à leurs heures calmes, la jeune femme motivée par sa nouvelle passion, va, à toute heure de la journée qui s’allonge à leur faveur, inciter sa mère à raconter le passé. Elle croit énormément en ‘’la madeleine de Proust’’ et à l’avalanche des réminiscences. Elle s’applique par conséquent à stimuler les sens de la vieille dame dans l’ordre de ‘’la saveur’’ mère de presque toutes ses souvenances.  Ainsi, chaque jour, Mama s'anime de plus en plus et conte ses souvenirs ; quoique éparses, cela ne dérange pas Badia qui ne cesse d’admirer les joues roses de sa mère dont la voix tonne encore à ses oreilles lorsque celle-ci dort ou feint de s’endormir, s’assoupissant avec toutes ses douleurs familières au moment où ses membres crient alerte : prenons du repos ! C’est un signe de bonne santé ! pense Badiعa qui songe à son œuvre irisée d’antan ; ses pupilles brillent de reconnaissance envers sa mère qui garde maintenant les yeux fermés, allongée dans son petit coin habituel du séjour qui reçoit encore les rayons du soleil prodigués sur les sofas lors de ces après-midi du mois de novembre. Mama dit : notre automne est printannier ! Quelle chance, pense l’enviée-damnée, traitée de « Nulle- Folle » ou de‘’Machin-chouette’’. D’autres fois, carrément « d’Afffreuse-salope ». Ô toi mon enfant assassin et amour ! dit-il avec sa voix venant de l’au-delà. Elle continuerait à se répéter in petto : N’a-t-elle pas le droit de disposer de son être, de son temps, de sa chance ? Quelle différence donc entre elle et ces ''femmes cloitrées'' dans un seul domicile, et les autres dites ‘‘libres’’ ? Toutes limitent leurs tentatives d’échapper à leur prison dorée, face à l’égotisme machiste étendu et malsain de leur société. Et elle ? Que fait-elle la re-Badai actuelle qui renouvelle sa présence auprès de ‘’la Sage Recluse’’ du domicile grand-familial ? On dirait que Badiعa revit au sein de son fief d’enfance, dans le giron de sa Mama sublimée. C’est elle, comme le lui confirme quelques personnes proches, l’éternelle fillette de sa Mama et vice-versa. Car, on dirait que la Mama, en vieillissant, se retrouve enfant dans les bras de sa fille qui prend de l'âge et prend à son tour soin de sa mère dont elle voudrait par toutes ses attentions prolonger la vie si ce n’est la rendre éternelle. Toute la chaleur que lui transmet sa maman par son accueil à chaque fois la fait sentir plus que jamais enchaînée à son cœur, à son esprit, à tout son être ; et, son propre instinct maternel et filial grandit. Son énergie se renouvelle aussi. Soudain, tout devient positif !

Alors, venez leur partager ces instants inestimables qui deviennent par moments, simplement et naturellement une…          

    Chronique nationale à la mémoire d’une famille…ou simplement / une Chronique familiale à la mémoire de toute une nation

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13 mars 2021 6 13 /03 /mars /2021 10:47

 

 

 

Ch'حal m°n aj°yal m°chaw عla عay°niya ! (Que de générations ont disparu sous mes yeux !), exhale Mama avec ses pupilles éthérées.

.. Tu sais ! m'apprend Badiعa, ces salons ont été gardé tels quels, depuis ixe temps ! Ce qui a beau désolé Mama désirant souvent en changer l’aspect, c'est-à-dire la tapisserie et tout ce qui s’accorde avec ! mais en vain ! La jeune femme dépitée constate souvent que ces larges pièces de soi-disant ‘’réception’’ fonctionnent juste tels des greniers chargés de mobilier rebutant aussi bien ces nouvelles Bonnes qui viennent en prospection des lieux que les maîtresses de foyer… Ces lieux, constate Mama, que ces femmes de foyer chevronnées, soumises à leur destin de « plie-échine » et de « sauve que-peut », essaient de sauvegarder par amour et par affection. Par sentiment de devoir aussi ; (conclut Badiعa emplie de nostalgie et de tendresse pour toutes celles qui se sont sacrifiées corps et âme à leur foyer. Elle est souvent intriguée par cet attachement étrange et presque maladif de combien de femmes à leur foyer, quoique exténuées soient-elles ; cependant, farouchement attachées à leur nid, chaque année un peu plus ! …Elles sont si accrochées à ‘’ce tout’’ qui a empli leur foyer et chargé leur existence de combien d’attaches et de tâches lourdes à entretenir… Ces femmes lui semblent figées dans un présent continu.  Elle pense qu’elles n’ont pas eu le temps, ni le désir d’évoquer leur passé en tant qu’une succession d’événements regrettables dans leur fond chargé de combien de soucis ; tous ces soucis du quotidien vécu dans la soumission qu’ils engendrent...tout ce qu’il fallait méditer et essayer de changer… Peut-être par sentiment de saturation, et par lassitude elles ne l’ont pas fait ! Elles ont forcément vécu leur existence comme l'ont vécue leurs mères avant elles, telle une destinée à assumer et jamais à contester, assistant au fur et à mesure que le temps passe à l’achèvement de leur vie…

 

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 18:36

Ce fut, (évoque la jeune femme), souvent un immense plaisir de voir ces salons accueillants et animés par des convives joviaux. Toutefois, ces temps-ci, ces salles et tout leur mobilier restent vides de visiteurs de tout ordre… Aussi, par nostalgie, les deux dames de ce matin doux d’automne printanier, n’ont pas hésité à se délasser confortablement sur l’un de ces sofas tapissés en velours glauque. Une couleur qui déplait à Mama ! Badiعa contemple ces sièges qui renferment combien de souvenirs du temps de son père. Ils sont encore là ! les mêmes divans ! …

 

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22 février 2021 1 22 /02 /février /2021 21:30

.. Il fut un temps où le bonheur et le malheur étaient partagés, car tout-enveloppés d’amour de bienveillance et de compréhension. La tradition de se retrouver unis, non seulement par de beaux sentiments reliés à la mémoire affective mais aussi par ce lien sacré qui réunit l’esprit de famille par pur attachement à ses proches, par dévouement naturel et non par un certain sentiment de devoir à accomplir dans l’immédiat en vue de s’acquitter de sa conscience… ; ce fut une tradition familiale qui demeurait douce, spontanée et tolérante...

        

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22 février 2021 1 22 /02 /février /2021 18:51

قالو ناس زمان "لي مات باه يوسد الركبة ولا ماتت

يماه يوسد العتبة"

 

Viens Mama! Viens, déplaçons-nous au grand salon!

Quand Mama était encore vivante, sa maison ouverte à tout le monde, et ses salons toujours dressés comme du vivant de Baba, comme au premier jour… ! ; c’est là !où, nous les grands enfants de nos parents qui ont illuminé nombreux de nos jours passés à leurs côtés, nous, grands-enfants chanceux et heureux de retourner dans la maison familiale toujours entretenue par la vigilance de Mama vieillissant tranquillement chez-elle, nous nous installions enchantés de retrouver cet espace accueillant et chaleureux qui réchauffait notre cœur et nous ressourçait auprès de la Mama accueillante dévouée aux lieux et à la mémoire de son mari parti plus tôt, la laissant vivre et vieillir tout dignement dans sa maison-point de rencontre propice aux retrouvailles heureuses de tous leurs descendants et de toute une famille à la quête de  صلة الرحيم.( de retrouvailles) Maintenant ! que la Mama est partie rejoindre ses proches défunts, je suis profondément triste et désolée pour ces lieux qui vont  peut-être changer d’apparence et perdre leur âme…

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11 juillet 2018 3 11 /07 /juillet /2018 14:36

Il y a des personnes qui chicanent à longueur de journée jusqu'à vous faire perdre la boussole et vous commencez à crâner comme elles. Criez aussi fort est contagieux. Elle a l'art cette femme de vous mettre l'aiguille à la langue et la puce à l'oreille et la boule à la gorge. Vous pétez les plombs et vous fulminerez autant qu'elle le fait lors de situations qui vous compromettront et vous mettront au pied du mur...    ça y'est ! vous vous êtes englué et la colle vous colle ! Tout ce qui reste à faire est de pester, être de son côté et surtout ne pas protester ne pas la contrarier elle vous enverrait ses flammes en plein visage et plein de crachats ; ce serait impossible de placer  un mot de contestation ou d'approbation car c'est quasiment impossible la personne fulminant est convaincue qu'elle est seule à posséder la raison et avoir raison. Alors brûlez aussi vos neurones et pissez toute votre salive crachez vos cordes vocales aucune force sur le moment ne servirait à atténuer le degré de fulmination. Sinon pliez bagage et fuyez tout cet espace occupé par les personnes crâneuses qui vous tirent les cordes vocales et provoquent le volcan en vous. Votre nature calme à la recherche de la sérénité est compromise et vous voulez fuir fuir et surtout ne pas chercher des explications ni les donner ce serait inutile.

Comment faire pour éviter de telles personnes et de telles situations? Je me retrouve à m'y méprendre à me sentir mal très mal et les boules à la gorge se croisent...

 

 

 

 

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3 février 2017 5 03 /02 /février /2017 00:32

Cet article est reposté depuis Le blog de recueildetextes3.

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 19:21

Les vieilles histoires des plantes des pieds montent cela démange sans cesse comment faire tout rejaillir des cellules encombrées de la mémoire lourde du cerveau hanté les nuits s’allongent dans les phrases interminables du monologue tangent relaté au bord du conscient en veille  puis envolé avec toutes tes phrases nocturnes indéterminées justes fragmentées retenant une demi attention confuse ébréchée cela t’empêche de plonger dans un sommeil réparateur perturbe ton envie de baigner dans l’apathie bienheureuse tu ouvres les yeux le noir jaillit du ciel de tes yeux alourdis relaxe-toi tu t’enroules dans tes couvertures tu entends la Révolte des peuples opprimés sonner dans ta caverne endommagée par la grisaille continue des masses montantes mouvantes hallucinantes c’est le refrain des chants nationaux qui rejoint les mots éparpillés comment t’en sortir du gouffre aspirateur de ton souffle freiné il ne sort pas de tes bronches qui le retiennent prisonnier depuis longtemps force-toi à respirer normalement sinon tu vas suffoquer dans ton sommeil le trou béant va t’emporter sans préavis non ce n’est pas vrai il te lance des signaux et t’incite à remédier à la perte du temps de tes dimensions précaires tu t’enfonceras dans les limbes des condamnés à respirer difficilement sans pouvoir remédier à leurs maux sans pouvoir exaucer leurs vœux

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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 14:41

*L’expression ‘’y°chwini fik’’», à savoir de ‘’se faire griller à cause de quelqu’un’’, dans nos milieux, a souvent des significations précises dans un contexte qui amène une personne à utiliser un tel cliché (comme sortant d’un bûcher d’enfer propre à celui d’un autodafé qui vous brûlerait illico) ; c’est à dire tout simplement ‘’je souhaite ta mort tout de suite même si je dois en brûler !’’. Les flammes du bûcher vont lacérer les deux acteurs de la situation embrasée!

Cependant cette expression se dit parfois à tort et à travers dans certains contextes où la sociolinguistique prolifère. La signification de ce cliché de langage tragi-Co-insulta tif peut prendre pas mal de sens, comme Bada l’a compris et interprété suivant les contextes. La signification, au fait, dépend de la situation. Y°chwi-ni-fik (Que je sois grillée en toi), cette expression adressée à quelqu’un qu’on veut éloigner de sa vue, voudrait dire ‘’que tu sois mort et que je m’afflige jusqu’à brûler d’affliction à cause de ta mort’’. Sinon je serais heureuse en apprenant ta mort ! Toutefois, dans le cas de la boniche qui vous fait bouillonner de rage, l’expression ‘’y°chwinifihom (au pluriel) toutes les Bonnes’’, est une injure macabre. Comme si on disait ‘’qu’elles aillent toutes au diable’, ces sales Bonnes d’enfer ; qu’elles soeint toutes mortes !

Parfois cette expression est utilisée par plaisanterie entre amis et intimes. ‘’Sir baraka mn bsalat, arrête, y°chwinifik !’ Cela devient gratuit. Cela signifierait tout le chagrin qui serait causé à cause de la mort de celui ou celle auxquels on destine amicalement le vœu de la mort ! Or ce n’est pas gentil de dire Y°chwini fik à un ami…

Y°chwini f’chi waحéd, cela veut dire tout simplement et affreusement,’’ que je sois surpris pas la nouvelle de sa mort’’.

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  • : Quelques fragments de mon roman: "Le retour à la source" Un long essai sur la vie en soi Pour l'amour du bilinguisme Une histoire de la langue Mama2
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